Dusttown
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 Mon coeur brûle - Méli Rey

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Mélina Rey
Mélina Rey

Messages : 4

Date d'inscription : 29/07/2013


Autres infos
Rang: Coeur n°3
Loyal envers: Thanatos Thanatos

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MessageSujet: Mon coeur brûle - Méli Rey   Mon coeur brûle - Méli Rey EmptyLun 29 Juil - 8:05


Mon coeur brûle - Méli Rey 760393DustMli3icone Mon coeur brûle - Méli Rey 257488DustMliicone
θήτα Mélina Rey
ιώτα Thanathos
Date de naissance : 7 juillet 2009 (21 ans)
Statut : Célibataire Métier : Infirmière
Logement : Studio, sur la rive gauche
Rang : Coeur de Thanatos
Rapport avec l'APC : neutre
Rapport avec Geweld : -
Rapport avec Kheops : -

κάπα Personnalité


Toutes les histoires de princesses devraient commencer par "Il était une fois". Il devrait en s'agir de même pour la description de leur personnalité. Car oui, avec Méli, il y a eu un "il était une fois". Autrefois, elle était gaie, souriante, charmante, charmeuse, une véritable joie de vivre et un vrai rayon de soleil dans la vie de ceux qui la cotoyaient. Capable de tout pour sa famille, et pour les inconnus croisés dans la rue.

Et puis est arrivé un... "accident". Un réglage de compte de gang, et elle était entre deux. Et le rêve s'est transformé en cauchemar. Méli commence à peine à surmonter le traumatisme. Mélancolique, aisément apeurée, ne suportant pas la moindre violence, elle a le comportement d'un chien qui a été battu : ne frappez pas trop fort ou elle risque bien de se retourner contre vous. Devenue amère, très en colère, la détresse d'autrui n'a cependant pas cessé de la toucher, et elle fera tout pour aider ceux qu'elle aime, les innocents, ou les membres de Thanatos. Ceux des autres gangs, elle les laissera mourir sans la moindre émotion ni hésitation. Elle a vite compris qu'il faut blesser les autres avant qu'ils ne nous le fassent... et sa haine des gangs est trop forte pour qu'elle puisse l'ignorer.

Elle fait preuve d'une certaine volonté, et une fois qu'elle a pris une décision, rien ne saurait l'en détourner : même si elle est mauvaise, elle y restera par simple orgueil. Emotive, elle est déchirée entre son envie de vengeance et son envie de paix. Elle est persuadée que ses cauchemars sont le fruit d'une vengeance d'outre-tombe de Sophie Rey, sa tante, pour n'avoir pas su la protéger elle ou son cousin.

Intelligente, elle sait précisément où se trouve quoi pour vous faire souffrir et elle a de la mémoire, beaucoup de mémoire. Elle n'a jamais torturé jusque là, mais comme on dit, les victimes deviennent souvent bourreaux si on appuie au bon endroit...

En somme, il s'agit d'un oiseau blessé qui tente tant bien que mal de se reconstruire... en aiguisant ses serres.

λάμδα Histoire
 

Elle regarde par la fenêtre, immobile. Ses yeux ne cillent pas. Mon père devait lui rappeler sans cesse de cligner les paupières, avant que je ne crée une alarme qui s'en charge de manière autonome. Elle reste assise, toujours. Elle n'est plus maîtresse de son corps. Elle est devenu une espèce de légume. Elle... elle se fiche de tout.

Je ne sais pas ce qu'elle regarde, à travers cette fenêtre. Mais c'est devenu une place habituelle. Elle ne se lève que pour aller aux toilettes, se laver, manger, et encore parce qu'on le lui dit régulièrement. De temps en temps, elle se retourne, me suis du regard, mais pas un mot n'est échangé. Ce regard, brun, est vide, il n'exprime plus rien. Mais moi, j'y vois une accusation monstrueuse. Sa présence est une accusation. Sa position amorphe est une accusation. Les toiles blanches et la peinture sèche sont des accusations. L'ordinateur allumé sur une énième version d'un logiciel de dessin est une accusation.

Je m'en veux. Je m'en veux terriblement. Avant... avant ma tante avait toujours une étincelle au fond des yeux : impossible pour elle de mentir, trop d'émotion, trop d'expression passaient sur son visage, mais c'était ce que je chérissais. Rire, pleurer, être en colère... elle m'avait fait découvrir que le genre humain a une vaste palette de sentiments, qu'ils sont tellement imperfectibles, mais capables des plus belles choses. J'aimais sa naïveté, la confiance qu'elle donnait dans les gens, sans se poser de question, sa générosité. Rien n'avait été facile pour elle, mais elle avait lutté avec acharnement pour arriver là où elle était actuellement. Née avant le deuxième millénaire, elle avait trente-deux ans quand la nouvelle, implacable, était tombée.

On lui avait diagnostiqué un cancer ostéophile. Mon oncle travaille dans le milieu des hôpitaux, et ma grand-mère avait été infirmière. Ma tante avait immédiatement compris. Elle était encore jeune. Moi aussi. J'avais dix-huit ans. On m'avait juste dit que tante Sophie était très malade. Je suis loin d'être con, j'ai fouiné, et j'ai écouté aux portes, quand ma mère et mon oncle Dan parlaient de leur petite sœur. Le cancer avait évolué extrêmement rapidement, des métastases osseuses disséminées dans l'organisme. J'étais dévasté. J'adorais Sophie. Je me suis enfui.

J'ai toujours été l'espèce d'enfant sage. Toujours de bons résultats à l'école. Jamais d'emmerdes. Mais apprendre que ma tante allait mourir d'un cancer... Je m'y suis refusé. J'ai toujours préféré le côté maternel de ma famille : Sophie, Dan, et ma mère Cori ont toujours formé un trio soudé, et je considère mon oncle et ma tante comme de seconds parents. J'allais perdre ma deuxième mère. J'ai paniqué.

Je savais que Kheops avait commercialisé un remède, l'année même. J'ai vidé les comptes, et je leur ai acheté de quoi guérir ma tante. Ils n'ont pas trop regardé qui leur donnait l'argent. Et Sophie a pu ainsi être sauvée. Éviter les prothèses, enclouages qui lui auraient retiré définitivement le contrôle de son corps, et surtout de ses mains, avec lesquelles elle vivait de son art.

Le seul problème, c'était les effets secondaires. Dan avait assuré que le cancer s'était retiré, mais...

Sophie a perdu son étincelle. Je me suis pris l'engueulade de ma vie. J'avais mis la famille dans une position précaire. Plus d'argent. Comment on allait payer le loyer, la nourriture ? Dan nous aidait, mais il avait également sa propre famille à soutenir. Et ce n'était pas mes grands-parents qui allaient pouvoir, à leur tour, nous aider. Je pensais être un héros. Mais mon sauvetage n'avait servi à rien. Au lieu de sauver ma tante, je l'avais réduite à un être sans empathie, dénué de sentiment ou d'intérêt pour le monde. Elle savait toujours parler, mais j'avais la désagréable impression de parler à une espèce de robot vide, avec ses grands yeux de biche qui n'exprimaient rien. Au fil du temps, elle s'est tue. Et s'est contentée de regarder par la fenêtre tandis que notre famille se déchirait.

Et puis un jour, on a reçu un gros chèque. Un grand dignitaire. Il y avait également une lettre. Il nous suppliait d'arrêter la torture, qu'il avait cédé à nos exigences, et qu'il ne dirait rien au gouvernement. On n'a pas compris, au départ. Puis Sophie a parlé. De sa voix monocorde. Et a prononcé deux mots : « c'est moi ».

« C'est moi ». C'était à cause... ou grâce à elle. Ma mère voulait pas accepter le chèque. Mon père et mon oncle l'ont convaincue. Sophie nous a expliqué. Elle s'était rendue compte qu'elle pouvait interagir sur le cerveau des autres. Leur projeter des illusions... Elle nous avait projeté pendant des jours une apparence d'elle assise à la fenêtre. Et était partie, à la recherche d'un gros bonnet qui serait capable d'effacer les dettes. Une fois trouvé, elle s'était mise au travail. Ça avait été dur, au début. Elle avait failli se faire prendre, car elle n'arrivait pas très bien à maintenir ses illusions : elle annulait celle qu'elle nous projetait le soir, pour se reposer. Mais un soir, elle a réussi à rentrer dans la chambre du dignitaire...

Elle lui avait projeté des cauchemars monstrueux. Elle avait murmuré à son oreille, incessamment, des paroles hideuses. Jusqu'à ce qu'il craque, et fasse un chèque. Après quoi, elle était revenue à la maison et avait attendu, patiemment. Et le chèque était arrivé.

Je lui ai demandé pourquoi. Elle m'a répondu qu'on était de sa famille. Qu'elle se souvenait juste qu'elle était censée ressentir des choses fortes pour nous, et donc qu'elle devait faire ça. Torturer un homme jusqu'à ce qu'il cède, elle qui autrefois se serait indignée avec véhémence. Elle n'avait plus de morale. Elle était détachée du monde.

Et c'était de ma faute, si ce monstre avait vu le jour.

Les années ont passées. J'ai continué mes études, sans grande conviction, dévoré par la culpabilité, et j'ai fini par tout plaquer. Mes parents ne savaient plus quoi faire de moi, et ma cousine, Mélina, la fille de Dan, complètement désemparée, s'était mise en tête de me ramener dans le droit chemin. En vain. J'ai commencé à errer dans les rues toute la journée. Et puis Sophie s'est mise à m'accompagner. Ça ne me remontait pas le moral, et bien au contraire, pour m'enfoncer encore plus, j'ai commencé à fréquenter des gens pas très recommandables. J'avais déjà eu quelques contacts avec Kheops, pour sauver ma tante. J'ai commencé à bosser pour eux, en tant que petite frappe. J'ai pris du muscle, à force d’enchaîner les bastons. Et j'y ai pris goût.

Mais, ça je l'ai découvert grâce à Sophie, ce qui me plaisait le plus, c'était l'infiltration. Kheops avait bien compris que ma tante ne travaillerait jamais pour eux et ne faisait ça que pour m'aider moi. Alors ils m'ont collé dans de l'espionnage, le vol de documents de gangs rivaux... Grâce à Sophie, c'était une véritable partie de plaisir.

J'ai fini par quitter la maison familiale. Sophie est venue avec moi, et a trouvé des fonds pour acheter l'appartement. Mélina nous a suivi, achevant ses études d'infirmière, arguant que l'appartement était plus proche de l'hôpital que sa maison.

Et puis un jour, un type m'a abordé. Il disait que, comme ma tante, il avait des capacités... particulières. Et qu'il était intéressé par notre duo. Qu'il cherchait des gens de terrain. J'avais rien à perdre. Kheops me faisait chier. Sophie n'en avait rien à foutre. J'ai accepté. Avant de partir, j'ai volé deux trois plans au gang. Je crois qu'ils m'en veulent, depuis. Un peu. Bon, peut-être beaucoup. Voire carrément.

Je vais devoir faire mes preuves pour cet homme. La mission est demain. Sophie regarde toujours par cette fenêtre. Méli est à l'hôpital. J'ai écrit ces lignes dans l'espoir de mettre enfin à plat tout ce merdier, et surtout pour garder une trace de tout cela.

Car avec Sophie, comment savoir si tout ceci n'est pas un rêve... ? Une hallucination... ?


Feuillets retrouvés dans l'appartement de Liam Béguelin


***

Douleur. Respiration hachée, paniquée. Elle a l'impression qu'elle va mourir. Des larmes roulent le long de ses joues. Elle s'entend à peine supplier qu'on la laisse en vie, qu'on ait pitié... Qu'elle n'a rien à voir avec ça... Mais une pression sadique sur son bras, là où il a été brisé, la fait hurler une fois de plus.

Liam a oublié une chose d'importance : Kheops n'est pas du genre à laisser un traître vendre des informations et un être comme Sophie s'en aller si facilement. Retrouver l'appartement où il vivait avec sa tante et sa cousine n'avait pas été compliqué.

Liam n'est pas encore arrivé. Alors les hommes de Kheops s'amusent, avec la seule victime qu'ils aient trouvé : Mélina Rey. Ils savent que Liam et Sophie vont revenir. Il n'est nul besoin de préciser quel genre de plaisanterie est-ce. Ils se sont amusé à tracer, au couteau, sur son ventre, les mots « chienne », et « traître ». Ils lui ont tailladé l'intérieur des cuisses, avant de la violer. Plusieurs fois. Et quand elle s'est débattue un peu trop, ils lui ont cassé le bras droit. Ils se sont vite lassé, cependant.

Un coup de talon dans la bouche pour qu'elle cesse ses pleurnicheries la fait taire, et elle ne peut plus que se recroqueviller dans un coin, essayant de garder le peu de dignité qui lui reste, et de réprimer hoquets et sanglots dans le fond de sa gorge. Elle n'a qu'une envie, se laver. Puis mourir.

Elle sait que ces hommes sont venus pour Liam. Elle aimerait pouvoir le prévenir, mais d'un autre côté, s'il ne vient pas, ces types vont l'égorger. Avant, ou après l'avoir torturée un peu plus. Elle frissonne, apeurée. Et se mord la langue jusqu'au sang pour s'empêcher de crier quand les hommes commencent à vandaliser l'appartement, jetant à terre vaisselle, cassant les vitres, cherchant, retournant tout ce qu'ils peuvent pour... pour quoi ? Elle l'ignore. Elle ne sait pas. Elle tremble un peu plus, se terre dans son coin et un gémissement, semblable à celui d'un animal blessé, s'échappe de ses lèvres. C'est un cauchemar. Un horrible et immonde cauchemar. Pour un peu, elle aurait souhaité que tout ceci ne fut qu'une farce sinistre de tante Sophie. Depuis qu'elle avait été guérie, Sophie a toujours eu un humour macabre.

Bruit d'une porte qui s'ouvre. Et l'enfer se déchaîne plus encore. Liam a le torse troué par la nuée de balles sans qu'il puisse y faire quoi que ce soit. Elle hurle quand elle voit son cousin partir en arrière, le regard soudainement vitreux. Les hommes sont trop occupés à tirer pour la frapper afin qu'elle se la boucle. Et les armes se taisent finalement. Un murmure. « On l'a eu ? ».

Que Liam. Une voix surgie d'outre-tombe tonne un effrayant : « Je suis un rêve... et le monstre de vos cauchemars ! ». Un homme tire sur un de ses coéquipiers. Elle devine que Sophie utilise ses dons. Les hommes s'entretuent jusqu'à ce qu'il n'en reste plus que deux. L'un des derniers, le plus gradé, le plus intelligent, peut-être, observe la pièce en gardant un silence parfait. Un sourire de loup se dessine soudainement sur ses lèvres. Elle ignore ce qu'il a vu. Il pointe son arme et tire. Un corps tombe. Celui de Sophie. Elle a fait une erreur.

Sa dernière.

Mélina, au delà de l'horreur, ne peut plus articuler le moindre son. Tout autour d'elle, des cadavres, des ruines. Son corps est une plaie ouverte. Le monde est fait de sel. Elle lève les yeux vers le gradé survivant. Ce dernier lui renvoie un autre sourire.

« Tu criais pitié... ? Voilà ma pitié. »

Ils s'en vont. Sous leurs bottes, le verre crisse et craque. Ils claquent la porte en partant, qui s'effondre dans un silence de mort. Le soleil pénètre par grands rayons d'or dans l'appartement, avive l'écarlate du sang. Une longue plainte franchit finalement les lèvres de Mélina, brisant le silence. La plainte se mue en hurlement.

Douleur. Tristesse.

Colère.

***

Un autre individu se présenta. Un autre homme. Elle releva les yeux vers lui, la tête dans le brouillard. Yeux rouges, un regard froid. Elle le devina tout de suite, il ne faisait pas partie de Kheops. Geweld, alors... ? Il s’accroupit devant elle, pour se mettre à sa hauteur. Les yeux verts, hagard, tentaient de deviner ce qu'était cet homme. Ami... ? Ennemi ?

« Tu es la cousine de Liam. Que veux-tu ?
- Je... je... suis haine. Et je rêve de... devenir... vengeance, croassa-t-elle.
- Je te vengerai. Viens. », murmura doucement Alfred Herkafoen

Ainsi marqua les débuts de Mélina Rey, papillon aux ailes brisées, parmi Thanatos. Un cœur.

Un cœur brûlant, hurlant vengeance.


μυ Derrière le masque

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Avatar : Hana, de dCTb, mais bon, une blondasse, en somme.
Comment avez-vous connu DT ? Par le même qui me ramène toujours sur les forums 8D
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Skyler Ans'Well
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MessageSujet: Re: Mon coeur brûle - Méli Rey   Mon coeur brûle - Méli Rey EmptyLun 29 Juil - 12:37

Bonjour Méli :)
On a un peu discuter du don de Sophie hier avec Beleth parce que c'était assez extrême mais étant donné que le personnage ne sera pas jouer, je pense qu'on peut l'accepter sans soucis ;)
*et j'avoue, j'adore ton histoire comme ça, 'veux pas la changer x)*
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Dustman
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MessageSujet: Re: Mon coeur brûle - Méli Rey   Mon coeur brûle - Méli Rey EmptyLun 29 Juil - 12:40

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Pendant ce temps, vous pouvez consulter la liste des spécificités de Dusttown.
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Mélina Rey
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Messages : 4

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MessageSujet: Re: Mon coeur brûle - Méli Rey   Mon coeur brûle - Méli Rey EmptyLun 29 Juil - 12:45

Et encore, j'ai retiré son habilité à influer sur les rêves Pas taper, pas taper

Merci beaucoup \o/
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MessageSujet: Re: Mon coeur brûle - Méli Rey   Mon coeur brûle - Méli Rey Empty

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Mon coeur brûle - Méli Rey

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