Dusttown
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 Hello world ! I'm so different ! ( Arthur Frey Vilothem )

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Arthur Frey Vilothem
Arthur Frey Vilothem

Messages : 2

Date d'inscription : 12/08/2013

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MessageSujet: Hello world ! I'm so different ! ( Arthur Frey Vilothem )   Hello world ! I'm so different ! ( Arthur Frey Vilothem ) EmptyMer 21 Aoû - 19:09


Hello world ! I'm so different ! ( Arthur Frey Vilothem ) J7cd Hello world ! I'm so different ! ( Arthur Frey Vilothem ) Eqlt
θήτα Arthur Frey  Vilothem
ιώτα Civil
Date de naissance : 01/11/1994
Statut : Célibataire
Métier : Étudiant en Journalisme, en stage.
Logement : Appart
Rang : Civil
Rapport avec l'APC :neutre
Rapport avec Geweld :neutre
Rapport avec Kheops :neutre

κάπα Personnalité


Ma personnalité ? Je suis différent ... Totalement ... Je pense différemment, je vis différemment, j'agis différemment. Je suis insondable, imprévisible, improbable. j'ai un point faible : je suis seul, c'est ce qui à causé ma folie, je suis continuellement triste. Mais c'est aussi mon point fort, car je n'ai aucune pitié. Bien que je puisse éprouver des émotions, je n'ai pas d'état d'âme et n'apporte aucune valeur à la vie humaine. Tout le monde à la même valeur, et à mes yeux elle est proche de zéro. Je ne suis pas insociable, c'est juste que je ne sais pas de quoi parler, je n'ai rien à dire, et je me fous de la vie des autres ... Ce qui n'arrange rien. Je suis un putain d'égoïste ! Et pas mal égocentrique : moi, ma vie mon œuvre, moi et moi , je et encore je. Je suis un radin, très hypocrite, mais très idéaliste, calme, taquin,  souriant, quoique pas toujours. Et je suis un sacré malade ! Nan pas vraiment, je suis pour la plupart du temps censé et logique, mais il m'arrive de m'égarer sous l'emprise de drogues, contrairement à l'alcool que je tiens pas mal ! J'ai hérité de l'éducation de mes parents d'une courtoisie perdue de nos jours. Je suis toujours galant et attentionné avec les femmes, c'est mon second point faible, lorsqu'une me plait je ne peux rien lui refuser, mais je suis assez strict sur ma sélection (enfin je ne choisis pas réellement...).

Je déteste :
-Par dessus tout devoir un service ou de l'argent à quelqu'un.
-Les gens comme moi, les personnes qui donnent des ordres ou alors des conseils. De même pour les excités, violent qui parle fort.
-Le bruit.
-Me faire hacker.
-Perdre, me faire doubler.
-Me faire tirer dessus.
-Les sous-entendus péjoratifs.
-Les clichés, les stéréotypes.
-Ces putains de clown !
-Les chats

J'adore :
-Les bonbons, offrez-moi des bonbons et je vous adorerais de suite ! ( enfin je ferais un effort ). Presque pareil pour les pâtisseries mais un degrés en dessous, en plus je suis assez strict, il faut que cela soit de très bonne marque.
-J'aime lire, mais un style spécial, je peux rendre service contre un bon livre.
-J'aime la musique classique, le rock alternatif et les opening/ending d'anime.
-Les femmes brunes aux cheveux très longs, avec un fort caractère.
-Les compliments.
-La loyauté, les personnes de parole ( enfin pareil j'essaye de les apprécier ).
-Les chiens
-la glace menthe-chocolat




λάμδα Histoire

J'ai envie de commencer par le début, mais je sais que je ne suis capable de me souvenir de tout. De toute cette tendre enfance, de la bonté perdue de mes parents, de leur tendresse. Peut-être car j'ai eu une enfance des plus banal... peut-être. Car mes parents appartiennent à la classe moyenne, ni trop pauvre, ni trop riche, ils sont capable de subvenir aisément à mes besoins de gamins, mais ne croule pas sous l'argent, il font tout pour rendre heureux leur premier enfant. Peut-être parce qu'il m'ont élevé de la manière la plus commune, du moins il ont essayé ... Et finalement y-a-t-il une norme dans le fait d'élever ses enfants ? Mais peut-être n'ai-je pas fais attention à me souvenir. Peut-être un peu de toutes ces raisons. Enfin c'est ce que je pensais avant de changer...

Si je me souviens d'une chose particulière étant enfant, c'est que je n'arrêtais pas de me poser des questions. Seul, silencieusement, je me questionnais sur le monde, sur les autres. Et une question dominait tout-autre, étais-je différent ? D'ailleurs je me pose toujours cette question mais mon point de vue par rapport à elle, a changé, j'ai changé, tout à changé, mais cela ne me plais pas...
Oui, je ne sais trop vraiment pour quelle raison, mais un jour j'ai changé. Je me suis mis à avoir une sorte de conscience, pas que je n'en n'eus pas avant, mais plutôt que ma capacité à me situer était inexistante. J'étais un être (humain) uniquement doué d'objectivité, voyant tout, sauf lui. Je dirais que ce fut à l'instant où je compris que j'étais différent mais que nous l'étions tous, d'une manière ou d'une autre, autant en bien qu'en mal. Le jour où j'ai accepté qu'autrui existait et qu'il devait aussi m'accepter. Je devenais moi parmi tout ces autres, j'étais toujours seul mais je ne me sentais plus comme.


Je me souviens de ma maison, la première, celle qui contenait mes souvenirs d'enfants , celle qui d'ailleurs les garderait à tout jamais. Une large maison en bois au centre de la France. Située milieu de nulle part, loin de tout. Dans une petite ville au nom inconnu des français eux-même. Je me souviens particulièrement de la très grand bais vitrée, devant laquelle je passais des heures à regarder ou lire, profitant des chauds rayons du soleils. En ces moments, je me rendais compte à quel point j'étais seul. Je ne pouvais qu'entendre mon cœur battre, aucun autre bruit, aucune autre odeurs et sensations ne me laissais douter de cette infâme vérité : j'étais seul.

Comme je me questionnais souvent, je me suis un jour demandé : était-ce normal d'être aussi seul ? La réponse inévitable m'apparut. Non, j'étais et je serais sûrement toujours différent, atypique. Peut-être est-ce à ce moment que j'ai commencé à haïr le monde, les autres, les gens «normaux».

Et puis je suis entré au collège, j'ai quitté le nid protecteur de l'enfance, je suis devenu ... enfin, j'ai cru devenir un adulte, un homme. Mais je ne comprend que maintenant que j'en étais loin ...
Mais bien que je détestais mes congénères humains, je ne pouvais fuir à mon instinct purement humain, mon instinct grégaire, je ne pouvais fuir le groupe.  Alors comme tout adolescent normal, je me suis fondu dans la masse, j'ai commencé à aller à des soirées, à boire à fumer, à rencontrer des filles, à me battre, j'ai continué dans la voie de l'ordinaire. Mais vers la fin j'ai tout rejeté, j'ai fais ce que j'ai appelé une crise existentielle : qui étais-je ? Qui voulais-je devenir ? Que devais-je faire ? Y-avait-il un but à tout cela ?

Et j'ai compris, j'ai compris que depuis toujours, j'étais resté aveugle, que je ne voyais que ce que je voulais voir. Je n'étais ni un petit riche dont la vie étais déjà tracé, je n'étais pas un petit pauvre non plus, je n'avais pas d'excuse à mes échec. Mes actes ne dépendait que de moi, pas de mon milieu social, pas de mes parents, pas de mes amis, de moi seul. Alors je pris conscience de ce que j'avais raté jusqu’à là. La vie n'avait un sens que si je lui en donnait un. Mais je n'en avais jamais eu alors.

Je réalisais mon existence et pour une raison inconnue, je ne me sentais pas bien, mais je ne me sentais pas particulièrement mal. Un de ses sentiments indescriptibles, étrange. En quittant le collège j'étais changé, je n'étais plus l'ancien «moi», j'étais nouveau, j'étais définitivement différent. Car à présent je vivais comme je le souhaitais et je ne souhaitais qu'une chose : quitter l'habituelle, découvrir , voir de l'original. Cette idée me colla à la cervelle tout au long de ma scolarité au lycée, je devais être différent, mais je n'osais attiser les regards méprisant de mes camarades. Alors je restais «différent» intérieurement, caché de tous. Je pratiquais des activités atypiques, rares : Tir à l'arc, tir à la carabine, lancer de couteaux, escrime, couture, cuisine,  hacking, psychologie, free run ( parkour ), natation et lecture. La lecture n'était pas réellement une activité atypique, mais je lisais et oser aimer des livres qui au sens commun ne pouvait qu'être dégoutant. Mes passions étaient du style de Charles Bukowski, Anaïs Nin,Robert Sheckley, Blaise Pascal. J'adorais, probablement par nostalgie de mon enfance, m'assoir sur un banc en plein soleil et calmement oublier ce monde, tout oublier en lisant et apprécier la vie imaginaire ou non d'un autre, me mettre à sa place une seconde.

Je voyais la fin du lycée de plus en plus vite, je voyais comme un échappatoire, enfin une sortie, le moyen de vivre ma vie, mes vies, celles dont je rêvais, emplies de danger, d'action, de tendresse, de bonheur, de tristesse, de richesse.  Ce que j'allais faire après mon Bac ? Contrairement à la majorité des élèves, je le savais plus que bien : J'irais faire des études en journalisme dans une ville dont le taux de criminalité serait le plus élevé. De là j'appliquerais mes capacité et deviendrait la personne la plus hors du commun que l'univers ait connut. Bien entendu, mes parents n'en savait rien de mon plan et il fut assez difficile de leur faire accepter mon premier vœux, il n'était pas ignare au point de ne pas remarquer que la faculté se situait dans une ville «sous tension». Mais ma motivation dépassait la leur, sans doute car je n'avais jamais été aussi insistant depuis que j'étais leur fils ...  

Ce fut sûrement un caprice de jeunesse, une soudaine envie irréfléchie. Je me voyais comme le personnage principal du film «into the wild», je quittais le monde doux et tendre dans lequel j'avais toujours vécu. J'étais naïf, terriblement. Mais je ne supportais plus ma «trop» simple existence, comment pouvais-je vivre comme un simple étudiant alors que devenir espion, marchand d'arme, gérant d'une haute entreprise, prisonnier dans un pays en guerre, trafiquant de drogue, hacker ou encore révolutionnaire me semblait si simple. Il ne me suffisait que d'avoir un peu d'audace, de folie, de courage et de mettre en jeu, risquer de perdre tout ce que j'avais pu acquérir jusque alors. J'étais prêt à tout pour rester différent et avoir une vie hors du commun. Mais n'était-ce finalement pas une sorte de vengeance ? Ne souhaitais-je pas montrer au monde que j'avais réussi ma vie en étant loin de lui, sans son aide ? C'est ce que je craignais par dessus tout ... me tromper.

Je comprend de nouveau, je comprend que ce caprice fut une erreur. Car j'avais oublié que je n'étais pas dans un film, le risque de mourir était présent à chaque instant, la peur était réel, la faim et la pauvreté aussi. J'avais réussis bien au delà de ce que j'eus put penser, malgré moi.

Je suis donc parti à 18 ans de mon pays natal pour aller à la rencontre du rêve américain et je ne fus pas déçus car mon rêve se réalisa. J'ai pu de la manière la plus désagréable, découvrir l'horreur des combats de rues, des dealers de drogues, des vendeurs d'armes et autres marchés noirs. Ironiquement, peu à peu le monde autour de désagrégea, un peu plus chaque jours, il s'écroulait sur lui-même. Il ne pouvait accepter le fait que j'eusse la possibilité de réussir, il me laissa ainsi invengé à jamais. Sale traître va ! Je ne pouvais plus supporter un tel monde. Car au final j'étais toujours seul, faible, oublié de tous, invisible.

Mais je ne pouvais rester, je ne pouvais continuer, du moins pas ainsi. Alors je devins invisible aux yeux de tous, inaudible, tel un fantôme. Continuant mon travail de journaliste, je prenait de plus en plus part au querelles entre les clans, du moins je m'en tenais au courant. Et à force d'être au courant de tout, mon travail tourna vers le rôle d'informateur, laissant des messages codés dans mes articles, j'augmentais lentement mon salaire. J'attendais que quelqu'un s'intéresse à moi, j'attendais que l'on perce mon anonymat, je souhaitais au plus profond de mon être d'être découvert ...


μυ Derrière le masque

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MessageSujet: Re: Hello world ! I'm so different ! ( Arthur Frey Vilothem )   Hello world ! I'm so different ! ( Arthur Frey Vilothem ) EmptyMer 21 Aoû - 20:48

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